La conscience spirituelle dont je parle dans mes livres (en Italie Ed. Paoline) ne peut pas être forcée, obligée, contrainte. Elle contient déjà en elle-même le mécanisme que lui permet de se réaliser, comme une semence contient déjà tout pour devenir un arbre. Il faudra certainement l’arroser avec le silence, avec la méditation et la prière. Nos pensées ne doivent pas entrer en conflit avec les plans de l’univers. Dieu semble ne pas laisser de traces dans le monde matériel, c’est pour cela que la conscience spirituelle n’est pas une sensation, mais une dimension précise, cachée dans notre corporéité. Lorsque nous entrons dans cette dimension, nous nous sentons aimés et assistés par l’intelligence infinie de Dieu, qui est la source de notre être.