Valerio Albisetti - Il viaggio della Vita

  Sixième moment : sens objectif de la perte. L’expression des émotions et l’exécution des tâches liées à la perte amènent à voir de façon objective la situation du deuil, on sort définitivement de la sensation de peine et d’abandon et on revient à prendre possession de soi même, à vivre en protagoniste. Septième moment : reprise de soi même. Enfin, une vision claire de la perte subie doit passer ensuite à faire reprendre la partie de soi même qu’on a laissé dans le deuil....

  Quatrième temps: expression des émotions. Quand les résistances à la perte subie commencent à céder, finalement débute l’exigence d’exprimer  le diverses émotions que nous ressentons au fur et à mesure: tristesse, peur, sens d’abandon, rage, sens de culpabilité. La perte de personnes ou  choses qui nous sont chères laisse inévitablement des émotions douloureuses, vraiment  pénibles qui vont finir per s’exprimer en rage pour la perte subie. En générale, après ce  moment ...

    Deuxième  moment : la négation. Nier ce qui est arrivé sert à rester dans l’illusion que rien n’est arrivé et tout revient comme avant. Mais évidemment il n’en est pas ainsi. La négation est donc un deuxième mécanisme de défense qui aide à prendre du temps pour pouvoir mieux affronter la perte subie. Troisième temps : la substitution. Parfois on réagit à la perte par un remplacement rapide de l’élément manquant  croyant pouvoir ainsi remettre tout à sa place....

  D’autre part, si on n’élabore pas le deuil, on perd le sens de la vie. On entre dans une névrose psychospirituelle ou la personne perd toute envie de vivre. On sombre dans l’ennui existentiel, dans le vide intérieur, dans la dépression, jusqu’à se laisser mourir. L’élaboration du deuil ne signifie pas oublier, mais donner une signification différente aux réalités, qu’elles soient personnes ou choses, que pour nous se sont révélés précieuses. Il y a différentes étapes,...