En générale, celui qui souffre de solitude souffre parce qu’il lui manque quelques chose qu’il n’a pas cherché en soi même et à laquelle n’a pas donné de sens. Beaucoup désirent un compagnon pour recevoir la compréhension qu’ils ne sont pas en mesure de se donner eux-mêmes; vouloir être au centre de l’attention autrui parce qu’on s’accepte pas; vouloir le pouvoir parce qu’on est fondamentalement des impuissants. La pensée commune et les savoirs scientifiques dominants nous parlent continuellement de la solitude de l’être humain comme dimension à éviter. Ils nous font croire qu’elle soit angoissante. Mais, dans ma vision de recherche de sens, ce type de solitude n’existe pas.